Épicéas, pins de montagne, mélèzes et aroles supportent un climat des plus rudes. Dans les Alpes suisses, ils constituent la limite supérieure de la forêt, l'arole devant tous les autres.

A chaque hiver, les marrons chauds sont de retour. Mais d'où viennent ces fruits et comment sont-ils récoltés?

Fromage de chèvre et de brebis, beurre bien frais, crème ou petit-lait: après une belle randonnée en montagne, tu peux te régaler dans de nombreuses buvettes d’alpage.

Des yacks sur les pâturages d’estivage suisses? Oui, il n’y a pas que les vaches, mais aussi les lamas, les alpagas et les buffles domestiques qui profitent des «vacances à l’alpage».

En Suisse, c’est aux rivières alpines que nous devons en grande partie la disponibilité de l’eau en toutes saisons. Mais cette précieuse ressource ne sera pas illimitée à tout jamais.

Le fumier, les déchets de cuisine et de jardin sont précieux. On peut en faire du compost, de l'engrais ou produire de l'énergie.

Les constructions ne cessent de s'étendre en Suisse. Le WSL a demandé à des personnes à quoi devrait ressembler leur lieu de résidence en 2030.

Les vaches produisent beaucoup de fumier et de lisier. Ceux-ci peuvent être utilisés comme fertilisants, mais aussi pour en faire de l'énergie.

On appelle pergélisol un sol gelé (température inférieure à 0 °C) en permanence pendant toute l’année.

Le ski et le snowboard, c’est sympa, mais en été, les pistes paraissent bien pelées. L'enneigement artificiel abîme-t-il la végétation?

On trouve aujourd'hui plus de plantes différentes sur nos sommets qu’il y a un siècle à peine.

Ne serait-ce pas génial de pouvoir localiser sur une carte les meilleurs endroits pour les loisirs de nature?

Il y a des pâturages d’estivage dans tous les cantons, excepté en Thurgovie, en Argovie et à Bâle-Campagne.

Avec le réchauffement climatique, même les grands mammifères vont chercher la fraîcheur en altitude.

La Suisse possédait autrefois de nombreux marais. Les hommes avaient beaucoup de difficultés à exploiter ces zones marécageuses. C’est pourquoi ils les ont peu à peu asséchés.

Avec la construction de routes et de villes, les habitats naturels pour la faune sauvage se raréfient. Quelles sont les conséquences pour les animaux?

Les marais sont des écosystèmes naturels qui se créent sur une surface imperméable. L’eau ne s’écoule que très peu, ils sont donc constamment humides.

Les routes, les autoroutes et les villes fragmentent le paysage, et les espaces naturels sont souvent réduits à de petites parcelles isolées.

Les zones alluviales sont vivantes et se transforment constamment, car les inondations modifient en permanence ces paysages.

Sur le Plateau Suisse, il n'y a preque pas des étendues libres. C'est assez laid et c'est pourquoi on veut freiner la construction incontrôlée.

Les chercheurs du WSL ont prélevé des échantillons de sol sur un sommet des Alpes et y ont découvert plus de deux milliers de micro-organismes.